Fumer est un esclavage
Comme mon mari fume, les deux premiers soirs c’était un peu dur mais j’ai tenu. Le troisième soir, j’ai essayé mais le gout m’a dégoûté. La journée je m’occupe. Je pensais que je serais énervée et tendue, mais pas du tout.
C’est cool de respirer que de l’air pur. Je me rends compte que cela pu et que les autres sont esclaves.
Aurore Zerrouk – boulogne-billancourt
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