Solitude et alcoolisme : comment l’hypnose crée un décrochage ?
Solitude et alcoolisme : comment l’hypnose crée un décrochage ?
Quand l’isolement devient un piège… et que l’alcool devient un refuge
Il y a des silences qui pèsent plus que des mots.
Des habitudes qui s’installent sans qu’on les voie venir.
Et des solitudes qu’on tente d’étouffer avec un verre à la main.
Mon consultant m’a confié :
« Je bois parce que je suis seul. Parce que je n’ai plus de rythme, plus d’encadrement. Je ne cherche pas à être saoul… mais l’alcool est devenu une sorte de compagnon. »
Aujourd’hui, il ne travaille plus. Il est en formation, sans emploi jusqu’à octobre 2026 et souffre aussi d’un cancer colo-rectal qui limite ses sorties.
Egalement, il fume un paquet par jour, boit dès le matin, et se sent coupable de rendre sa famille malheureuse.
Mais derrière cette consommation, il y a une blessure plus ancienne.
Quand tout bascule : le jour où l’on ne tient plus debout
Ce consultant buvait déjà avant : deux ou trois verres tous les soirs après le travail. Mais depuis qu’il a arrêté de travailler, tout s’est intensifié.
L’alcool n’est plus un rituel social, c’est un remplissage du vide.
Il reste seul à la maison, ne sort presque plus, ne boit pas pour faire la fête, mais pour tenir.
Son compagnon aussi boit chaque jour, un peu moins.
Mais l’isolement, la maladie, l’absence de structure quotidienne… l’ont amené à glisser lentement mais sûrement vers une dépendance.
Et pourtant, il ne cherche pas l’ébriété.
« C’est une habitude. Je n’ai même pas envie de boire. Mais je le fais. »
Une douleur enfouie : l’alcool comme pansement émotionnel
En séance d’hypnose, son inconscient nous amène à ses 25 ans.
Un moment clef : celui où il annonce son homosexualité à sa mère.
Sa réaction ? Le rejet.
Ce rejet a laissé une trace profonde. Une blessure de non-accueil. De honte. De solitude intérieure.
Et cette blessure n’a jamais vraiment été soignée.
Alors, au fil des années, l’alcool a pris le relais. Comme un anesthésiant.
Il aide à ne pas ressentir. À ne pas affronter ce vide laissé par le rejet de ceux qu’on aime.
Hypnose : comment le décrochage devient possible
L’hypnose thérapeutique, et en particulier la méthode Hypnosource, permet de traiter le cœur du problème, et non simplement le symptôme.
Ce que l’on fait en séance :
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On remonte à l’origine émotionnelle du comportement addictif (ici : le rejet de la mère).
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On travaille à libérer la charge émotionnelle liée à cet événement.
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On aide le consultant à renouer avec son identité, sans honte ni peur.
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On reprogramme l’inconscient, pour créer une sécurité intérieure plus solide que l’alcool.
Ce n’est pas magique. Mais c’est puissant.
L’objectif : retrouver le pouvoir d’agir
Ce consultant ne veut pas seulement arrêter de boire.
Il veut cesser de faire souffrir sa famille. Retrouver de la dignité. Se sentir utile et stable.
Et peut-être un jour, pouvoir dire à sa mère, symboliquement : « je n’ai plus besoin de ton approbation pour exister. »
Grâce à l’hypnose, il commence à :
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réduire sa consommation matinale,
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retrouver des moments de présence à lui-même,
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reposer des limites avec son compagnon,
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se projeter dans un futur plus serein, malgré la maladie.
Témoignages Google : ce qu’en disent les autres
⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️
« Grâce à l’hypnose avec Cécile, j’ai compris pourquoi je buvais. Ce n’était pas juste une mauvaise habitude, c’était une blessure enfouie. »
— Thomas G., avril 2024
⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️
« J’avais honte de dire que je buvais seul. Aujourd’hui, je peux parler, pleurer, me reconstruire. Une expérience profondément humaine. »
— Hugo P., février 2024
⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️
« L’hypnose m’a permis de retrouver de la maîtrise sans me juger. J’ai diminué l’alcool, arrêté de fumer… et retrouvé le goût de vivre. »
— Camille R., mai 2024
Hypnose : une alternative douce à la cure ?
Ce consultant envisageait une cure de désintoxication.
Mais il ne s’y sentait pas prêt. Trop brutal. Trop médicalisé.
L’hypnose ne remplace pas une prise en charge médicale si elle est nécessaire.
Mais elle peut être un premier pas, une passerelle, une alternative douce pour reprendre le pouvoir avant d’en arriver à l’extrême.
Et surtout : elle peut se faire en visio, sans bouger de chez soi.
En visio, partout en France et à l’international
Les séances se font :
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À Boulogne (92), au cabinet Hypnosource
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Ou à distance, via Hellocare ou WhatsApp
💻 Cela vous permet d’être accompagné où que vous soyez, même depuis chez vous si vous êtes affaibli, malade, ou simplement dans une période de repli.
1ère consultation gratuite, pour échanger sans engagement.
Vous vous reconnaissez dans ce témoignage ?
Vous buvez seul.e ? Et avez l’impression de ne plus pouvoir arrêter ?
Aussi, vous ne cherchez pas à être ivre, mais l’alcool est devenu une présence quotidienne ?
➡️ Il est peut-être temps de poser un autre regard sur votre histoire.
Et de faire un pas vers vous-même.
📞 Téléphonez maintenant pour un diagnostic gratuit au 06 61 79 23 74
💻 ou prenez rendez-vous en ligne sur Hellocare :
https://hellocare.com/hypnotherapeute/boulogne-billancourt/argy-cecile
FAQ – Hypnose et alcoolisme silencieux
Est-ce que l’hypnose peut suffire à arrêter de boire ?
Parfois, oui. Parfois, c’est le déclencheur d’une prise de conscience. Chaque histoire est unique.
Faut-il avoir touché le fond pour commencer ?
Non. Juste envie que ça change, envie de vous libérer.
Est-ce que je vais être « endormi » ?
Non. Vous restez conscient.e. L’état d’hypnose est un état de concentration intérieure, guidée, sécurisante.
Est-ce que ça marche si je suis malade ou en traitement ?
Oui. L’hypnose peut accompagner en parallèle d’un traitement médical, pour aider à mieux gérer le mental, les émotions, et la motivation.
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