Comment puis-je arrêter la cocaïne définitivement ?
Comment puis-je arrêter la cocaïne définitivement ?
Quand tout semble aller bien, mais que l’addiction prend le dessus
Charlotte a 32 ans. Professeure de yoga, jeune maman, en couple et follement amoureuse, elle lance en ce moment même son entreprise dédiée au bien-être. Pourtant, chaque soir, elle boit pour s’endormir. Et depuis plus d’un an, la cocaïne s’est installée dans sa vie, presque chaque jour.
« Je ne comprends pas pourquoi c’est là… Mais je veux m’en débarrasser à tout jamais. »
Un jour, elle m’écrit. Dans son message, il y a de la lucidité, de la détresse… et un immense courage. Car derrière l’addiction, il y a une femme debout, inspirante, en quête de vérité.
Hypnose et addiction : ce que révèle l’inconscient
En état d’hypnose, Charlotte retourne au tout début de sa consommation. Elle a 24 ans, en voyage en Argentine. Une copine lui propose « d’essayer juste une fois » cette poudre blanche. Charlotte vient de vivre une rupture douloureuse. Elle est en pleine faille affective. Elle dit oui.
Ce « oui » résonne longtemps.
Mais l’histoire va plus loin.
Enfant, Charlotte avait 5 ans. Le mercredi soir, sa mère partait travailler au restaurant. Charlotte restait seule avec son petit frère. Trop jeune pour porter ce rôle, trop seule pour en parler.
Son père ? Présent physiquement mais moqueur, humiliant. Jamais protecteur.
Addiction et blessure d’abandon
Ce que l’on comprend très vite, c’est que l’addiction de Charlotte n’a rien à voir avec un plaisir, ni même avec une faiblesse. C’est une solution. Une stratégie de survie.
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La cocaïne : pour tenir debout, performer, ne pas sombrer.
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L’alcool : pour couper le mental et enfin s’endormir.
Mais au fond, c’est une tentative de répondre à une question restée en suspens :
Pourquoi n’ai-je pas été protégée ?
L’hypnose pour se libérer de la racine invisible
Séance après séance, Charlotte reconnecte avec sa force. Elle rencontre l’enfant en elle, celle qu’on a oubliée, qu’on a fait grandir trop vite. Elle comprend que son besoin d’être aimée, utile, valorisée… est profondément légitime.
Et que la dépendance n’a plus lieu d’être quand on guérit la blessure initiale.
Aujourd’hui, Charlotte avance
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Elle ne consomme plus de cocaïne depuis 3 semaines.
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Elle a diminué de moitié l’alcool, en conscience.
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Elle dort mieux.
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Elle ose dire « non ».
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Elle ose demander de l’aide.
Sa transformation inspire. Parce qu’elle est réelle. Parce qu’elle est née de l’intérieur.
Témoignage Google
⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ « Je suis arrivée en détresse, avec une dépendance que je ne comprenais pas. Grâce à Cécile, j’ai mis du sens. J’ai repris le contrôle. Aujourd’hui, je me sens alignée, ancrée. Merci infiniment. »
— Camille R., 28 ans, publié en mars 2025
Vous aussi, vous vivez un conflit entre ce que vous montrez et ce que vous vivez intérieurement ?
Vous n’êtes pas seul.e. Derrière chaque addiction, il y a un besoin vital qui peut être entendu et apaisé. L’hypnose permet de revenir à l’origine, de transformer les schémas invisibles et de s’en libérer durablement.
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FAQ
Pourquoi je continue à consommer alors que ma vie va bien ?
Parce que ce que vous vivez extérieurement n’efface pas ce qui vous habite intérieurement. Tant que la blessure n’est pas apaisée, elle cherchera une issue.
Est-ce que l’hypnose marche même si je consomme encore ?
Oui, car l’hypnose travaille sur les causes profondes, pas uniquement sur les symptômes. Le chemin se fait à votre rythme.
Est-ce que je peux consulter si je suis maman et débordée ?
Oui. Les consultations en visio s’adaptent à votre emploi du temps, même avec un bébé à la maison.
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