Quand la dépendance affective crée un vide intérieur impossible à combler

Peur d’être seule : quand la dépendance affective crée un vide intérieur impossible à combler

Certaines femmes vivent un état d’angoisse difficile à nommer. Une peur sourde, presque animale, qui surgit dès que personne n’est là pour les rassurer.
Ce n’est pas seulement de la solitude.
C’est une impression d’effondrement intérieur.

Ma consultante me disait :
« Je sens bien que je suis en état de dépendance affective et de peur d’être seule. Je me sens démunie dès que je n’ai personne à mes côtés, même si la personne ne me convient pas du tout. Du moment que cela comble mon vide… je reste. »

Cette peur n’est pas logique. Elle est émotionnelle.
Elle prend sa source bien avant l’âge adulte, souvent dans une blessure d’abandon non apaisée.

Quand un départ réactive la blessure d’abandon

Dépendance affective et peur de l’abandon

Le facteur déclencheur a été simple et violent :
son fils part vivre à l’étranger.

Après le divorce, toute sa vie tournait autour de son enfant.
C’était sa présence, son repère, son ancrage.

Et soudain : le vide.

Au même moment, l’homme avec qui elle était depuis deux ans la quitte.
Deux départs successifs. Deux pertes. Deux abandons symboliques qui réveillent tout ce qui n’avait jamais été guéri.

Elle me dit :
« Je n’arrive plus à respirer. J’ai mal dans tout le corps. Je tremble. Je pleure. Je perds pied. »

Ce sont les manifestations profondes de la dépendance affective, lorsqu’elle se mêle à la peur viscérale de la solitude.

Pourquoi rester avec quelqu’un qui ne nous convient pas ?

Parce que le cerveau émotionnel ne cherche pas l’amour.
Il cherche la sécurité.

Il préfère un lien insatisfaisant plutôt que l’absence de lien.
Il préfère quelqu’un qui ne convient pas plutôt que personne.

Cette dynamique se retrouve souvent dans les relations compensatoires.

Ma consultante restait avec des hommes pour ne pas se sentir vide.
Elle le savait.
Mais elle n’arrivait pas à faire autrement.

C’est le propre de l’anxiété relationnelle : la peur dirige, au lieu du cœur.

En hypnose : retrouver la petite fille derrière le rideau

Peur d’être seule : quand la dépendance affective crée un vide intérieur impossible à combler

Sous hypnose, elle revit une scène fondatrice.

Elle a trois ans.
Sa nounou la laisse seule chaque jour, dans une pièce, derrière un rideau.
Personne ne vient la chercher.
Elle attend.
Elle espère.
Elle finit par sortir seule, tremblante et honteuse d’avoir eu peur.

Pour un adulte, cela paraît anodin.
Pour une enfant, c’est un apprentissage dangereux :

« Quand je suis seule, je ne suis pas en sécurité.
Quand je suis seule, personne ne vient me chercher.
Quand je suis seule, c’est de ma faute. »

Ce type de mémoire est précisément ce que l’on retrouve dans les schémas décrits dans se détacher émotionnellement.

Et tant que cette blessure n’est pas apaisée, la solitude adulte réactive la terreur de l’enfance.

Quand la peur de la solitude devient un mode de vie

Cette blessure crée un cercle intérieur douloureux :

• peur d’être seule

• dépendance à la présence de l’autre

• relations insatisfaisantes mais rassurantes

• sentiment d’abandon dès qu’on s’éloigne

• besoin de combler un vide

• impression de ne plus exister pour soi-même

C’est exactement ce que révèle le test dépendance affective.

Ce cercle n’est pas un défaut.
Ce n’est pas une faiblesse.
C’est une mémoire émotionnelle qui attend d’être entendue, reconnue et transformée.

La transformation intérieure : se sentir enfin assez

Après la séance, elle me dit :

« Je ne prends plus les choses viscéralement. Je suis plus stable. Je ne mets plus la pression aux autres ni à moi-même. Je sens qu’il n’y a plus le même enjeu… comme si j’avais retrouvé mon centre. »

C’est l’effet que j’observe souvent dans Complétude en apaisant la blessure d’abandon, la solitude cesse d’être une menace.

Elle redevient un espace.
Un souffle.
Une possibilité.

Et la personne retrouve la capacité d’être seule… sans se sentir vide.

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« J’avais peur de rester seule. Aujourd’hui, je me sens en sécurité avec moi-même. C’est une renaissance. »
« Je n’attends plus des autres qu’ils me sauvent. Je me sens solide. »
« Je n’ai plus cette boule au ventre dès que quelqu’un s’éloigne. Je revis. »

Le programme Complétude : une méthode unique, orientée résultats

Complétude accompagne celles qui :

Peur d’être seule : quand la dépendance affective crée un vide intérieur impossible à combler

– ont peur d’être seules
– restent dans des relations par peur du vide
– vivent des angoisses d’abandon
– ressentent un manque émotionnel permanent
– veulent se reconstruire après une rupture
– cherchent à reprendre leur pouvoir intérieur

Le programme inclut :
– une consultation diagnostique gratuite
– 3 sessions en 1 séance pour apaiser la blessure d’abandon
– des audios personnalisés
– 1 à 3 visio-coachings de consolidation
– un suivi WhatsApp bienveillant
Programme : 230 €

Qui suis-je ?

Cécile Argy – créatrice de la méthode Hypnosource

Je suis Cécile Argy, hypnothérapeute certifiée, fondatrice d’Hypnosource, spécialisée dans la dépendance affective, la confiance en soi et la libération émotionnelle.
J’accompagne depuis plus de dix ans des femmes hypersensibles vers la liberté intérieure et la paix affective.

📞 Téléphonez maintenant pour un diagnostic gratuit au 00336 61 79 23 74
ou prenez rendez-vous en ligne via WhatsApp pour l’HypnoVisio (https://wa.me/33661792374)
📍 Cabinet Hypnosource – Boulogne
💻 Séances en visio disponibles partout en France et à l’international
✨ Reconnue comme l’une des meilleures hypnothérapeutes de France, validée par plus de 400 avis Google 5⭐️
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FAQ — Peur d’être seule & dépendance affective

Pourquoi j’ai si peur d’être seule ?
Parce qu’une blessure d’abandon ancienne se réactive dès que le lien se distend.

Pourquoi je reste avec quelqu’un qui ne me convient pas ?
Parce que le cerveau cherche la sécurité, pas l’amour.

Est-ce que la solitude peut devenir agréable ?
Oui, quand la blessure émotionnelle est apaisée.

L’hypnose peut-elle vraiment aider ?
Elle permet d’apaiser les mémoires qui créent l’angoisse et le besoin compulsif de l’autre.

Pourquoi cette peur revient quand mes enfants quittent le foyer ?
Parce que la solitude réactive symboliquement l’abandon vécu dans l’enfance.