Comment maigrir grâce à l'hypnose
Si vous vous engagez à suivre une thérapie avec Cécile pour traiter la perte de poids, vous serez invité à assister à un programme en 9 étapes sur une base régulière en conjonction avec les séances d’hypnothérapie.
Cécile s’est impliquée dans ce travail en 9 étapes pendant plus de dix ans. Si vous êtes vraiment prêt à mettre fin à votre comportement alimentaire, elle travaillera avec vous, afin d’aborder le problème à ses racines. Cependant, vous devez jouer votre rôle. Et cela implique de suivre un programme en 9 étapes de manière régulière.
Tous les appels sont traités avec la plus grande confiance
Quand le poids devient une réponse émotionnelle
Ma consultante ne se considérait pas comme “en surpoids”. Pourtant, elle se sentait en lutte permanente avec la nourriture. Le soir, après des journées intenses, elle perdait le contrôle, surtout sur le sucre. Ce n’était pas de la faim, mais une nécessité intérieure de faire redescendre la pression.
En hypnose, son inconscient l’a ramenée à des souvenirs d’enfance marqués par une forte insécurité émotionnelle. Très tôt, elle avait appris à se calmer seule, à ravaler ses émotions, sans soutien réel. La nourriture était devenue un refuge silencieux, un moyen de se rassurer quand tout devenait trop.
En libérant ces mémoires, quelque chose s’est apaisé profondément. Elle n’a pas “fait régime”. Elle n’a pas lutté contre ses envies. Elles se sont simplement espacées, puis éteintes. Son rapport à la nourriture est devenu plus neutre, plus calme. Le corps a suivi, naturellement, sans effort ni contrôle excessif.
Perte de poids par l’hypnothérapie Paris
Ma consultante a 58 ans ne dort pas et rien ne fonctionne. Aussi, elle a une addiction alimentaire, a pris 20 kilos. En fait, elle ne sent pas spécialement d’anxiété. Elle sent de la nervosité, de l’ennui. Plutôt fine de nature, elle avait quand même à faire attention. Cela créé une baisse estime de soi, ne s’habille plus. Finalement elle s’en veut et c’est comme si elle avait envie de se faire du mal. En effet, elle ne veut pas manger mais y va quand même. Elle mange beaucoup pendant les repas et est très rarement rassasiée et grignotée un tout petit peu entre les repas. Cela joue sur sa vie de couple, sa pudeur, sa manière de s’habiller, ses vacances, manque d’enthousiasme et d’énergie. Même aller promener son chien lui fait sentir sa lourdeur physiquement et moralement.
En hypnose, elle se trouve petite en manque d’écoute et d’attention. Nous traitons un tabou familial vis à vis de son père.
Cas clinique – Quand le poids protège une blessure ancienne
Ma consultante, 60 ans, a toujours été ronde.
Il y a dix ans, accompagnée par une diététicienne, elle perd 25 kilos. Une réussite.
Mais depuis la ménopause, le rapport à la nourriture se dérègle à nouveau.
Elle n’a plus de sensation de satiété.
Elle mange sans faim, surtout en période de relâchement comme les vacances.
Puis vient la culpabilité, la peur de reprendre du poids, l’angoisse que tous les efforts passés soient réduits à néant.
Son rapport au corps est clair :
elle ne s’est sentie bien dans sa peau que lorsqu’elle était mince.
Aujourd’hui, elle manque de plaisir, n’a plus de vie affective, et le poids devient un rappel constant de son manque de confiance en elle.
En hypnose, l’origine apparaît nettement.
Elle se reconnecte à une relation paternelle marquée par la violence, l’absence affective et des paroles dévalorisantes sur son corps.
Son père la trouvait “grosse”.
Son inconscient a associé très tôt le corps à la honte, et la minceur à la valeur personnelle.
Le poids n’est alors plus un problème à corriger, mais un mécanisme de protection ancien, toujours actif.
En libérant cette mémoire émotionnelle, le rapport à la nourriture commence à se transformer naturellement, sans lutte ni restriction.
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Perte de poids par l’hypnose à Paris – Cas clinique
Cette femme consulte pour une prise de poids progressive, installée sans véritable prise de conscience.
Son ex-mari a toujours été peu présent, mais elle s’est longtemps adaptée sans se plaindre, en mettant ses propres besoins de côté.
Depuis le télétravail, les compulsions alimentaires se sont intensifiées, surtout le soir. Elle mange entre les repas, sans faim réelle. La nourriture devient un automatisme, une façon de combler le vide et de relâcher la pression. Elle a pris deux tailles, s’habille avec difficulté et commence à perdre confiance en elle.
En hypnose, son inconscient la ramène d’abord à une blessure d’abandon maternelle. Petite, seule dans la cuisine, elle se réconforte en mangeant de la poudre de lait sucrée. Un geste d’auto-apaisement qui s’est inscrit très tôt comme réponse émotionnelle.
Puis émerge une blessure d’humiliation, liée au père de ses filles, qui a renforcé un sentiment de dévalorisation et de perte d’estime de soi.
En libérant ces mémoires émotionnelles, le rapport à la nourriture commence à se transformer.
La compulsion n’est plus nécessaire pour se rassurer. Le corps peut progressivement retrouver un équilibre plus juste, sans lutte ni culpabilité.
Perte de poids, régimes et culpabilité alimentaire
Cette consultante était enfermée dans un cycle régimes – culpabilité – compensation, avec une peur permanente de grossir qui bloquait toute perte de poids durable. Chaque émotion difficile déclenchait un refuge alimentaire, malgré une alimentation globalement saine.
En hypnose, une scène fondatrice liée au regard maternel et à la honte du corps a été libérée, permettant d’apaiser la culpabilité et de rétablir un rapport plus serein à la nourriture.