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Alcool et identité : quand boire devient un moyen de s’affirmer

  • Alcool et identité : quand boire devient un moyen de s’affirmer

Chez certaines personnes, l’alcool n’est pas seulement un désinhibiteur.
Ce n’est pas non plus une simple habitude sociale.
C’est un moyen — parfois le seul qu’elles connaissent — pour s’affirmer, exister, se sentir à la hauteur ou se libérer d’un poids qu’elles n’ont jamais osé poser.

C’est le cas de cet homme du 92, pour qui l’alcool est devenu un geste automatique du soir. Un geste qui ne répond pas à une envie, mais à un besoin intérieur qu’il ne comprend pas encore. Il ne boit pas tous les jours, il peut même s’abstenir pendant plusieurs jours. Mais lorsqu’il boit, une autre partie de lui prend le relais. Une partie qu’il ne reconnaît pas. Une partie qu’il redoute.

Ce basculement raconte quelque chose de plus profond : une histoire d’identité, de blessure, de solitude, et d’un besoin d’appartenance qui n’a jamais été nourri autrement.

Le soir, une version inconnue de lui-même apparaît

Il dit :
“Le soir, il y a un côté en moi que je ne connais pas.
Je n’ai même pas le temps de réfléchir : j’ai besoin de mon verre.”

Ce n’est pas une dépendance physique.
Ce n’est pas un manque.
C’est une impulsion.

Quand l’alcool devient une porte d’accès à une partie inconnue de soi, cela signale une désorganisation émotionnelle silencieuse. Beaucoup de personnes vivent ce décalage : un soi “de jour” contrôlé, fonctionnel, adulte… et un soi “de soir” qui déborde sans explication consciente.

Ce phénomène apparaît souvent chez celles et ceux qui boivent pour exister ou pour retrouver une version d’eux-mêmes qu’ils croient perdue.

Il ne boit pas tous les jours, mais lorsqu’il boit, tout s’accélère

Il peut rester trois jours sans boire. Sans trembler. Sans manque.
Ce n’est pas la quantité. C’est l’intention.

Avant, c’était festif, entouré d’amis :
“Avant, c’était cool.”

Maintenant, c’est seul, en rentrant du travail.
Un verre. Puis deux. Puis trois.
Sans comprendre pourquoi.

Ce glissement du social vers le solitaire est un signe classique d’installation d’un automatisme inconscient, comme on le retrouve dans de nombreux cas d’alcoolisation émotionnelle.

La blessure d’origine ? Il ne la connaît pas encore… mais elle existe

Alcool et identité : quand boire devient un moyen de s’affirmer

Alcool et identité : quand boire devient un moyen de s’affirmer

Il ne voit plus son père.
Il dit qu’il a “déjà travaillé dessus”.
Il dit que “ce n’est pas ça”.

Et pourtant, sous la surface, la blessure est toujours vivante.

Ceux qui se construisent seuls — sans repère, sans soutien, sans espace où exister pleinement — créent souvent une identité fractionnée :
celle qu’ils montrent au monde
et celle qu’ils cachent à l’intérieur.

L’alcool devient alors un outil pour faire exister la partie cachée.

L’alcool, une tentative d’affirmation identitaire

À 18 ans, son cerveau a associé l’alcool à la liberté.
À l’affirmation de soi.
À la maturité.
À la capacité de se dire : “Je suis moi, malgré tout.”

Pourquoi ?

Parce qu’il vivait une différence identitaire et sexuelle qu’il ne parvenait pas à assumer pleinement.
Parce que son père reniait cette différence.
Parce qu’il fallait trouver un espace où il pouvait respirer.
Même artificiellement.

Pour lui, boire signifiait :
être autonome
être libre
être un homme
exister malgré le rejet paternal
s’autoriser enfin à être différent

Cette association est puissante.
Elle façonne un automatisme identitaire qui persiste longtemps, même lorsque la vie a changé.

Une vie sociale difficile pour ceux qui veulent arrêter

Il veut arrêter.
Il veut s’abstenir un temps.
Il veut comprendre.

Mais il a aussi peur.

Car, dans son cercle social, ne pas boire signifie être mis à l’écart.
Il l’a vécu.
Il l’a mal vécu.
Les regards, les questions, les moqueries légères, les soupçons.
Il ne veut pas être “l’ancien alcoolique” dont on surveille le verre.

Cette stigmatisation du non-buveur est très fréquente et participe à l’entretien du comportement, comme dans de nombreux contextes d’alcoolisme mondain ou social.

Il ne veut plus avoir à se justifier.

Il veut juste être lui-même.
Sans masque.
Sans alcool pour jouer un rôle.

Comment l’hypnose dévoile la racine émotionnelle

Sous hypnose, la racine apparaît très rapidement.
Pas dans le présent.
Pas dans les soirées.
Pas dans son travail.

À 7 ans.

Un harcèlement scolaire invisible aux adultes

Un jour où il a été humilié devant d’autres.
Où on s’est moqué de sa différence.
Où il a senti qu’il ne pouvait pas être lui-même sans danger.

Puis une rupture amoureuse qui a ravivé la même blessure

La sensation de ne pas suffire.
La peur d’être rejeté encore.
La croyance : “Je ne suis pas assez.”

Ces deux événements ont créé un schéma inconscient :
s’affirmer → danger
être soi → rejet
montrer ses émotions → faiblesse

Alors, l’alcool a pris la relève.
Il est devenu :
une permission d’exister
un canal de libération
un anesthésiant
un refuge identitaire

Comment l’hypnose libère la désinhibition alcoolique

Alcool et identité : quand boire devient un moyen de s’affirmer

Alcool et identité : quand boire devient un moyen de s’affirmer

L’hypnose ne traite pas le verre.
Elle traite ce qui pousse vers le verre.

Retrouver l’enfant blessé et lui rendre sa sécurité

Sous hypnose, la scène du harcèlement est transformée.
Il n’est plus seul.
Il n’est plus humilié.
Il reprend pouvoir et dignité.

Libérer la blessure d’abandon

La rupture amoureuse est revisitée sans douleur.
Il retrouve sa valeur.
Il se reconnecte à une identité stable.

Déprogrammer l’association “alcool = liberté”

Le cerveau apprend que la liberté est intérieure.
Que l’affirmation ne passe plus par l’alcool.
Qu’il peut être lui, sans amplification chimique.

Réinstaller une affirmation identitaire saine

Il découvre qu’il peut :
parler
exister
oser
sans dérapage
sans alcool
sans masque

Signes que vous vivez ce même mécanisme

Vous ne buvez pas tous les jours, mais perdez le contrôle lorsque vous buvez.
Vous ressentez un “autre vous” le soir.
Vous buvez seul après le travail.
Vous avez peur d’être jugé si vous arrêtez.
Vous avez longtemps cherché l’approbation d’un parent.
Vous avez dû vous construire seul.
Vous associez alcool et affirmation de soi.
Vous ne connaissez pas la blessure d’origine, mais vous sentez qu’elle existe.
Vous souhaitez comprendre ce qui se joue vraiment en vous.

Conclusion : l’alcool n’est pas le problème, c’est le messager

L’alcool n’a jamais été votre ennemi.
C’est une porte que vous avez utilisée pour survivre à un rejet, à une différence, à un manque d’amour, à une blessure ancienne.

Aujourd’hui, vous n’avez plus besoin de cette porte.

L’hypnose permet de refermer ce chapitre, de guérir la racine, et d’ouvrir un chemin où votre identité n’a plus besoin d’être prouvée ou défendue par un verre.

Pour approfondir, explorez la compréhension globale de l’alcool au féminin.

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Self-Control est un accompagnement structuré conçu pour celles et ceux qui perdent le contrôle même ponctuellement.
La méthode combine :

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Il s’adresse à vous si vous souhaitez arrêter la perte de contrôle alcoolique, guérir la racine et retrouver une identité libre et stable.

Cécile Argy - hypnosource

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