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Sevrage alcoolique par l’hypnose : retrouver une vie normale après des années d’addiction

  • Sevrage alcoolique par l’hypnose : retrouver une vie normale après des années d’addiction

Certaines personnes passent par l’hôpital pour un sevrage complet… puis reconsomment dès leur sortie. Ce n’est pas un échec. C’est la preuve que, derrière l’alcool, il existe un vide émotionnel et des blessures que le corps médical ne traite pas toujours.

C’est le cas de ma patiente. Elle a 36 ans. Elle boit depuis qu’elle a 12-13 ans.
Hier encore, elle a bu deux bouteilles de vin. Avant son sevrage hospitalier, elle était montée à six bouteilles par jour. Six.

Elle vit seule. Elle boit seule. Elle travaille dans un laboratoire d’analyses médicales, où elle réalise des prises de sang et des tâches administratives. Mais l’alcool l’a fragilisée au point qu’elle a dû se mettre en arrêt.

Elle veut retrouver une vie normale. Pouvoir travailler sans trembler. Pouvoir marcher sans avoir mal aux jambes. Pouvoir vivre.

Boire seule : le piège silencieux derrière la rechute

Elle ne boit pas au travail.
Elle ne boit pas en soirée.
Elle boit quand elle est seule.

C’est lorsque son mental s’emballe, lorsqu’elle pense trop, lorsqu’elle revisite des souvenirs trop lourds. Alors elle ouvre une bouteille, pour anesthésier ce qu’elle ne sait plus contenir.

Ce mécanisme correspond aux dynamiques de solitude alcoolisée où l’alcool devient un refuge intérieur plus qu’une dépendance sociale.

Le sevrage hospitalier ne règle pas la racine du problème

À l’hôpital, elle a réalisé un sevrage physique complet. Le corps a été nettoyé.
Mais l’émotion, elle, est restée intacte.

C’est pour cela qu’elle a reconsommé en sortant :
ce n’était pas un manque physique, c’était un manque émotionnel.

Aucune volonté, aucun médicament, aucune injonction ne peut remplacer ce qui manque depuis l’enfance.

En hypnose : retour à 7 ans, là où tout s’est imprimé

Lors de la séance, son inconscient ne s’est pas trompé.
Il l’a ramenée directement à 7 ans.

Elle voit son père lui proposer un digestif saturé sur un morceau de sucre—ce qu’on appelle un canard. Elle n’a que sept ans. Elle ne comprend pas ce qui se passe, mais elle est inquiète, vulnérable, fragile.
Elle goûte.
Elle aime immédiatement l’effet.
L’apaisement.
Le flottement.

L’alcool s’imprime dans sa tête comme un moyen magique de soulager l’angoisse.

À cette période, elle vivait déjà une grande inquiétude : sa sœur, dyslexique et atteinte de troubles autistiques, demandait toute l’attention familiale. Elle, l’enfant sage, ne voulait pas déranger.

Et quand un enfant ne sait pas comment exprimer son mal-être, il cherche à disparaître.
L’alcool lui a permis cela.

L’évolution de ma patiente rejoint le processus du programme Self-Control, qui combine hypnose thérapeutique et reconnexion émotionnelle pour apaiser l’envie, déprogrammer les automatismes et reconstruire un rapport plus libre à soi-même.

L’autre traumatisme : trois années d’abus à l’âge de 3 ans

La séance l’amène ensuite plus loin encore.
Elle revoit son grand-père.
Elle revoit ce qu’il lui a fait subir, pendant trois ans.
Elle a trois ans. Trois.

Elle en parle à sa mère, plus tard.
Mais la réponse n’est pas celle qu’elle attend.
Sa douleur n’est pas reconnue.
Sa parole n’est pas crue.
L’enfant se tait.

Ces blessures là façonnent une vie entière.
Elles expliquent la fragilité.
La peur.
La honte.
La recherche d’apaisement dans l’alcool.

Elles expliquent pourquoi un sevrage hospitalier ne suffit pas :
le corps sort du produit, mais l’âme reste dans la douleur.

L’hypnose : la seule méthode qui traite ce que l’alcool remplace

L’hypnose va là où la médecine ne peut pas aller :
dans la mémoire émotionnelle.

Elle permet de :
– revisiter la scène à 3 ans
– libérer la charge traumatique
– réhabiliter la parole intérieure
– réparer l’estime détruite
– apaiser le système nerveux
– déprogrammer le lien “émotion → alcool”

C’est précisément le mécanisme de la déprogrammation des automatismes émotionnels.

Grâce à cela, la consommation n’est pas arrêtée par la force :
elle cesse parce qu’elle n’a plus de raison d’être.

Quand la vie normale redevient possible

Après les premières séances, ma patiente ressent :
– moins d’envie de boire
– plus de stabilité
– un esprit moins encombré
– moins de tremblements
– un espoir réel de changement

Elle me dit :
« Pour la première fois, j’ai l’impression que c’est possible. »

Et c’est là que le sevrage véritable commence :
pas dans le corps, mais dans l’histoire.

Cécile Argy - hypnosource

Cécile Argy – hypnosource

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