Il existe une forme d’alcoolisme dont on parle peu, car elle se cache derrière les rires, les terrasses, les verres partagés et la convivialité. On l’appelle alcoolisme mondain, et il touche beaucoup d’hommes qui, en apparence, vont très bien.

Mon consultant en est l’exemple parfait.
Il mène une vie active, travaille dur, aime sortir avec ses amis, partage des verres avec sa femme. Rien d’excessif, pense-t-il. Pourtant, sa consommation s’est installée dans une mécanique bien huilée dont il ne parvient plus à sortir.

Depuis cinq ans, il ne boit pas le dimanche ni le lundi. Mais dès le mardi soir, un automatisme se réactive : verre après verre, il ne peut plus s’arrêter. Le week-end, les quantités augmentent, surtout lorsqu’ils reçoivent ou sortent avec des amis.

Beaucoup d’hommes se reconnaissent dans ces mécanismes.
Un verre pour se détendre.
Un verre pour être “comme les autres”.
Un verre pour déconnecter…
Et, sans le voir venir, l’alcool prend trop de place.

Quand l’alcool social devient un piège

L’alcoolisme mondain est insidieux. Il n’est pas spectaculaire. Il s’exprime par :

des verres partagés dans des contextes sympathiques,
des soirées réussies,
des moments conviviaux.

On croit maîtriser. On pense que “tout va bien”.
Mais lorsque le corps commence à fatiguer, lorsque l’inflammation s’installe, lorsque le mental dépend du rituel du soir, l’illusion tombe.

Pour lui, les excès n’étaient pas quotidiens.
Ils étaient rituels.

Ce n’était pas un besoin constant, mais une habitude émotionnelle, ancrée profondément dans son inconscient.

Un héritage maternel lourd à porter

L’alcoolisme mondain masculin : comprendre et s’en libérer avec l’hypnose

Comme souvent, l’histoire commence bien avant les soirées entre amis.
Elle commence dans l’enfance.

Sa mère était alcoolique.
Elle a fait deux cures.
Son couple s’est brisé à cause de cette maladie.
Il la retrouve, un jour, saoule, à terre.
Trois ans plus tard, elle décède.

À 22 ans, ce choc marque sa mémoire.
Sans protection paternelle suffisante, il se retrouve seul face à la violence de ce moment.
Et la première fois qu’il boit vraiment en discothèque, c’est juste après cette scène traumatique.

Cette blessure profonde est une blessure de rejet.
Celle d’un enfant qui n’a pas été protégé.
D’un jeune homme qui a dû encaisser seul ce qu’aucun fils ne devrait voir.

Ce traumatisme a façonné sa relation à l’alcool, même s’il ne le savait pas.

En hypnose : revenir à la scène fondatrice pour s’en libérer

Lors de sa séance, une scène clé émerge :
sa première sortie alcoolisée, à 22 ans, juste après la vision de sa mère effondrée.

Ce moment contenait déjà tout :

le besoin de s’anesthésier,
l’incapacité à s’arrêter,
la confusion entre plaisir et compensation,
la tentative de remplacer une image insoutenable par une sensation de léger vertige.

Nous avons travaillé :

sur la scène du traumatisme,
sur le manque de protection paternelle,
sur la peur de devenir, un jour, comme sa mère,
sur la solitude intérieure qui le poussait à boire plus qu’il ne le voulait.

L’hypnose lui a permis de transformer cette scène et d’apaiser l’émotion qui l’alimentait depuis des années.

L’alcoolisme mondain n’est pas un manque de volonté : c’est une mécanique inconsciente

Quand un homme me dit :
“Je ne comprends pas, je veux m’arrêter mais je n’y arrive pas”,
je lui réponds toujours que ce n’est pas une question de volonté.

C’est une question de perte de contrôle.

Un homme peut être fort, intelligent, sportif, équilibré —
et pourtant incapable d’arrêter de boire une fois qu’il a commencé.

L’hypnose agit là où se trouvent les racines du problème :
dans les émotions, les blessures, les automatismes et les scénarios familiaux.

C’est pour cette raison que l’hypnose est l’une des méthodes les plus efficaces pour sortir d’un alcoolisme mondain.

Quand l’hypnose transforme la relation à l’alcool

HypnoVisio : un concept révolutionnaire depuis chez vous

Grâce au travail hypnotique, mon consultant a :

diminué sa consommation,
retrouvé de l’énergie,
réduit l’inflammation digestive,
cassé le cycle du mardi-soir-mécanique,
retrouvé une confiance qu’il avait perdue,
et appris à être présent à lui-même, même dans les moments festifs.

L’hypnose ne demande pas d’arrêter l’alcool brutalement.
Elle enlève ce qui pousse à boire.

Elle libère.

Le programme Self-Control : sortir durablement de l’alcoolisme mondain

Pour les hommes qui boivent socialement mais n’arrivent plus à réguler, le programme Self-Control est particulièrement adapté.

Il comprend :

hypnose thérapeutique ciblée pour casser le conditionnement,
3 sessions en 1 séance pour un travail intensif,
enregistrements d’auto-hypnose personnalisés,
1 à 3 visio-coachings pour ancrer de nouveaux réflexes,
un suivi WhatsApp discret,
un diagnostic gratuit pour définir les besoins.

L’objectif :
retrouver une liberté intérieure durable, même en contexte social.

Hypnose en visio : une solution simple, confortable et efficace

Pour les hommes avec un rythme de vie dense, l’HypnoVisio via WhatsApp est une opportunité précieuse.

Les yeux fermés, guidé par la voix, le cerveau reproduit exactement les mêmes mécanismes qu’en cabinet.
L’efficacité est identique.

C’est la solution idéale pour avancer sans contrainte et en toute confidentialité.

Témoignages Google authentiques

⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️
« J’ai pu diminuer ma consommation sans souffrance. Je me sens plus libre et plus stable. »

⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️
« L’hypnose m’a permis de comprendre ce qui nourrissait mon rapport à l’alcool. Une renaissance. »

Cécile Argy – créatrice de la méthode Hypnosource

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📍 Cabinet Hypnosource – Boulogne
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✨ Cécile Argy – créatrice de la méthode Hypnosource
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FAQ – Alcoolisme mondain

Pourquoi je n’arrive pas à m’arrêter une fois que j’ai commencé ?
Parce que l’alcool active un automatisme inconscient, souvent lié à une scène émotionnelle plus ancienne.

L’hypnose marche-t-elle si je bois socialement ?
Oui. Elle agit sur le mécanisme intérieur, pas sur la quantité.

Puis-je continuer à boire un peu ?
L’objectif du programme est la liberté. Vous choisissez votre cap.

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“Ne laissez pas l’alcool choisir pour vous. Un simple échange peut tout changer.”