Ma consultante, aujourd’hui en invalidité, se débat depuis des années avec une consommation d’alcool qui a fini par prendre toute la place.
Elle avait arrêté la cigarette… mais comme souvent, l’addiction s’est déplacée.
L’alcool est devenu son moyen de détendre le mental, puis son refuge émotionnel.

Le schéma est classique chez celles et ceux qui glissent vers un alcoolisme féminin : un verre “pour décompresser”, puis un autre… et la bouteille se vide en deux soirées par semaine.
Elle cède toujours autour de 19h, au moment où la tension de la journée retombe.
Cela rappelle très souvent ce cycle où l’on boit pour oublier un problème, ou pour éviter de ressentir une émotion.

Son conjoint, lui, ne boit pas.
Et c’est précisément ce contraste qui rend plus visible encore sa perte de contrôle.

En hypnose : remonter au moment où le corps a “décroché”

En séance, son inconscient l’a ramenée à un nouvel an passé avec son ex-mari, un homme violent.
Ce choc émotionnel avait ancré profondément l’association : danger → stress → alcool pour survivre.

Ces traces corporelles expliquent pourquoi, malgré sa volonté, elle n’arrive plus à stopper seule.
On retrouve souvent ce même mécanisme dans les situations de perte de contrôle en soirée ou encore dans ces automatismes où l’on sent que “quelque chose bascule à l’intérieur”.

Grâce à l’hypnose, l’émotion figée se libère.
La scène perd son pouvoir.
Le réflexe alcool disparaît progressivement, car le cerveau comprend enfin qu’il n’a plus besoin de cette béquille.

Pourquoi l’hypnose fonctionne particulièrement bien en téléconsultation

À distance, les séances fonctionnent tout aussi intensément qu’en cabinet :
les yeux fermés, guidée par la voix, elle entre dans l’état où l’on peut accéder aux croyances inconscientes.

L’hypnose permet de :

• désactiver l’automatisme du verre du soir
• apaiser la charge émotionnelle qui alimente la consommation
• reconstruire l’estime de soi
• retrouver la capacité de dire non
• réancrer un rapport calme au quotidien

Cette approche convient parfaitement aux personnes qui veulent arrêter totalement et ne plus subir ce cycle épuisant d’hypercontrôle → craquage → culpabilité.

Pour approfondir ces mécanismes, sa situation renvoie naturellement aux contenus comme :
• alcool et anxiété, quand le stress du quotidien devient le déclencheur
• alcoolisme et automatisme, quand le cerveau agit avant même que la volonté n’existe

Comment se déroule une séance : laissez-vous simplement guider

Vous restez conscient.
C’est un état de focalisation et de réceptivité profonde.
Vous n’avez rien à faire : juste écouter la voix et laisser votre inconscient travailler.

Cet état permet de contourner la partie critique du mental — celle qui doute, juge, contrôle — pour accéder à la zone des émotions et des croyances.
C’est là que se reprogramment les comportements.

Comment guérir de l’alcoolisme ?

L’hypnose ne remplace pas un suivi médical quand il est nécessaire.
Mais elle agit là où la volonté échoue : dans l’inconscient, là où s’enracinent les peurs, les automatismes et la dépendance émotionnelle.

👉 C’est pour cette raison que tant de personnes réussissent après avoir échoué avec d’autres méthodes.

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Cécile Argy – créatrice la méthode Hypnosource

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