Alcool automatique : quand l’environnement déclenche l’envie
Il existe des consommations qui ne disent rien en vacances…
mais qui s’imposent dès que l’on retourne travailler.
Certaines femmes ne boivent pas chez elles, ne boivent pas au calme, ne boivent pas lorsqu’elles sont reposées…
mais perdent complètement la maîtrise lorsqu’elles sortent d’une salle de concert, d’une réunion intense ou d’un événement professionnel.
Ce n’est pas de la dépendance.
Ce n’est pas un manque.
C’est un automatisme émotionnel, façonné par le contexte, par la surcharge, par l’héritage familial, par le bruit intérieur que l’alcool apaise… l’espace d’un instant.
C’est exactement ce que vivait ma consultante. Une femme brillante, active, hypersensible, qui travaille dans la production de concerts. En vacances, aucune envie. Mais après une journée dans le tourbillon : le verre devient un réflexe.
Quand l’alcool devient une réponse automatique à la surcharge émotionnelle
Dans son quotidien professionnel, il y a le bruit, les lumières, les sollicitations permanentes, la fatigue du soir…
Un environnement qui active chez elle un besoin immédiat : couper. Souffler. Redescendre.
Elle ne cherche pas l’ivresse.
Elle cherche la paix.
Et comme beaucoup de femmes qui vivent une pression forte, elle a fini par associer cette paix au premier verre.
Ce mécanisme touche énormément de personnes qui se reconnaissent dans :
• la normalisation sociale du verre de trop
• l’envie de se détendre après le stress
• les consommations “en contexte” seulement
• le rituel de fin de journée
• la difficulté à dire “non” quand tout le monde boit
• la sensation de ne plus être maître de ses actes dans certains environnements
Ce n’est pas l’alcool qui pousse.
C’est l’état intérieur.
Un état que l’on retrouve aussi dans l’alcool féminin, dans l’illusion de modération, ou dans ce que vivent celles qui disent : « Je bois pour oublier », ou encore lorsqu’un excès ponctuel bascule en spirale dépressive.
Une blessure paternelle encore active : quand l’histoire se rejoue sans qu’on le voie
En 2020, son père décède.
Un homme instable émotionnellement, chirurgien brillant mais fragile, qui buvait beaucoup, lui aussi.
À cette époque, elle arrête même de s’alimenter.
Le choc est immense.
L’héritage émotionnel est profond.
Lorsque l’on vit un deuil, une rupture ou une charge émotionnelle forte, l’inconscient cherche naturellement un substitut de régulation.
Pour certaines femmes, cela devient l’alcool émotionnel.
Pour d’autres, cela devient ce rituel qui apaise temporairement les tensions intérieures.
Dans son cas, il y avait aussi un modèle parental.
Et un modèle, même ancien, peut s’ancrer dans le corps sans que l’on s’en aperçoive.
En hypnose : déprogrammer l’automatisme et retrouver sa souveraineté intérieure
Lors de la séance, une scène apparaît :
Elle a 17 ans. Elle est chez des voisins. Des verres de Ricard circulent. L’ambiance est joviale, légère, permissive.
C’est là que se crée l’équation inconsciente :
Ambiance + pression sociale + besoin d’appartenir = alcool
Ce n’était pas un choix.
C’était une empreinte émotionnelle.
En hypnose, nous avons :
• libéré la charge liée au père
• déprogrammé le modèle automatique
• apaisé l’énergie émotionnelle qui cherchait une soupape
• reconfiguré son rapport à elle-même
• transformé le contexte intérieur qui déclenchait l’envie
L’hypnose n’empêche pas de boire.
Elle redonne le choix.
C’est exactement ce qu’attendent les femmes qui vivent une perte de contrôle, un black-out émotionnel, ou qui sentent que leur consommation dépend davantage de leur état interne que de leur volonté.
Témoignages parmi plus de 400 avis Google
⭐⭐⭐⭐⭐
« Cécile m’a aidée à sortir d’une routine que je n’arrivais plus à contrôler. Aujourd’hui, je ne ressens plus le besoin de boire systématiquement. » – C.
⭐⭐⭐⭐⭐
« Une légèreté incroyable après la séance. L’alcool n’est plus une échappatoire. » – Julie B.
⭐⭐⭐⭐⭐
« Une approche douce et puissante. Bluffant en une seule séance. » – L.
Ces retours font écho à ce que vivent les femmes qui traversent du stress, du mal-être émotionnel, de l’anxiété, un déboire amoureux, ou encore ce besoin de s’apaiser dans un monde trop bruyant.
Le programme Self-Control : la méthode pour sortir des automatismes émotionnels
Self-Control permet aux femmes de :
• comprendre le déclencheur réel de l’envie
• déprogrammer les automatismes du cerveau émotionnel
• retrouver la sécurité intérieure qui remplace l’alcool
• cesser le verre “par réflexe”
• retrouver la fierté de décider
• respirer enfin sans compenser
Le programme inclut :
• une consultation diagnostique gratuite
• une séance en 3 temps (libération – reprogrammation – intégration)
• des enregistrements audio d’auto-hypnose personnalisés
• 1 à 3 visios de consolidation
• un suivi WhatsApp discret
Tarif : 300 €
Pour une transformation durable, en profondeur.
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Les exercices d’hypnose se font mentalement, guidés par ma voix, les yeux fermés.
L’efficacité est identique en visio :
une femme chez elle est souvent plus détendue pour laisser émerger ce qui doit se transformer.
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