Alcool Angoisse Paris
Comment arrêter l’alcool ? Paris : quand l’angoisse prend toute la place
Certaines personnes ne boivent pas pour oublier.
Elles ne boivent pas pour faire la fête.
Elles ne boivent pas pour se détruire.
Elles boivent parce qu’il y a une angoisse silencieuse, constante, presque physique.
Une angoisse qui ne ressemble pas à une simple inquiétude.
Une angoisse qui loge au cœur de la volonté.
Et quand la volonté elle-même se fissure, il ne reste plus de prise intérieure pour lutter contre l’alcool.
À Paris, de nombreux hommes vivent cette forme d’alcoolisation invisible.
Une consommation irrégulière, parfois rare… mais profondément chargée.
Un verre le soir, comme un appel.
Un besoin “d’être un autre”, ou de se sentir enfin vivant.
Cet article explore ce mécanisme : comment l’angoisse, la solitude, la quête d’amour et la difficulté d’exister dans sa peau peuvent mener à une consommation d’alcool douloureuse, et comment l’hypnose permet de s’en libérer.
Quand l’angoisse attaque la volonté
Il dit :
“Ce n’est pas une angoisse passagère.
C’est une angoisse permanente.
Elle vit dans ma volonté.
Et c’est elle qu’il faudrait réparer.”
Ce qu’il ressent n’est pas de la peur.
Ce n’est pas du stress.
C’est un vide intérieur qui aspire la force vitale.
Un état où le mental devient fragile, poreux, exposé.
Quand le soir arrive, une autre version de lui-même se manifeste.
Un côté qu’il ne reconnaît pas.
Un côté qui ne demande pas la permission.
Un côté qui veut son verre — sans discussion possible.
Il peut rester sobre plusieurs jours.
Sans trembler.
Sans manque.
Sans dépendance physique.
Mais lorsqu’il boit, même un seul verre, son identité bascule.
Et ce basculement lui fait peur.
Ce type de changement soudain se retrouve souvent dans les pertes de contrôle ponctuelles et dans les consommations émotionnelles qui s’installent en fin de journée.
Comment tout a commencé : attendre la vie en buvant
Il raconte qu’il a passé sa jeunesse à attendre.
Attendre l’amour.
Attendre la réussite.
Attendre l’argent.
Attendre l’action.
Attendre d’être quelqu’un.
Et comme rien ne venait, il buvait.
Pour patienter.
Pour anesthésier le vide.
Pour se donner l’illusion d’un mouvement.
Puis un jour, il a compris :
sa vie entière avait été une attente.
Une parenthèse.
Un couloir sans porte.
L’alcool lui donnait l’impression de rompre cette attente.
De vivre enfin quelque chose.
Mais ce quelque chose n’était que le reflet inversé de sa solitude.
Quand l’amour devient un moteur… et une blessure
Il confie :
“J’ai tant voulu être aimé
qu’il me semble que j’aime encore plus.”
Il ne boit pas parce que l’amour lui manque.
Il boit parce qu’il a toujours cru que l’amour était la seule preuve de sa valeur.
Il n’a jamais réussi à se sentir digne sans le regard d’une femme.
Sans l’intensité de la relation.
Sans cette sensation d’exister à travers l’autre.
Ce schéma est fréquent chez les personnes qui utilisent l’alcool comme amplificateur émotionnel pour combler un manque affectif profond.
L’alcool comme béquille identitaire masculine
Il dit que c’est “difficile d’être un homme”.
Non pas parce qu’il manquerait de courage.
Mais parce qu’il ne se sent pas “à la hauteur” de ses propres attentes.
Avec l’alcool, il se sent :
plus libre
plus désinhibé
plus audacieux
plus vivant
plus capable d’aimer
plus capable d’être aimé
Sans alcool, il se sent “moins”.
Moins présent.
Moins séduisant.
Moins lucide.
Moins homme.
Devant les femmes, il perd sa prise.
Il ne sait plus comment se situer.
Et dans ce vide, l’alcool devient une solution immédiate — mais destructrice.
Quand l’alcool devient un rituel du soir
Avant, il buvait en société.
Maintenant, c’est seul, le soir.
Le verre n’est pas un plaisir.
C’est un rituel.
Ce que son corps réclame n’est pas l’ivresse, mais le soulagement.
Un verre pour calmer l’angoisse.
Un verre pour ne plus sentir la solitude.
Un verre pour remplir le silence.
Un verre pour tenir debout.
Ce glissement du social vers l’intime est un signe clair d’un automatisme inconscient.
La blessure profonde : être soi n’a jamais été autorisé
Sous hypnose, une racine apparaît.
À 18 ans, il cherchait à s’affirmer.
À être lui-même.
À se sentir libre dans son identité sexuelle.
Mais son père le reniait.
Le rejetait.
Le jugeait.
L’alcool est alors devenu un symbole :
celui de la liberté
de l’affirmation
de la maturité
de l’indépendance
du droit d’exister
Le cerveau a associé :
boire = être soi
boire = être un homme
boire = être libre de son identité
boire = vivre
C’est cette association, inscrite dans l’inconscient, qu’il faut libérer.
Pourquoi l’hypnose fonctionne dans ce type d’alcoolisation
L’hypnose intervient là où se trouvent les racines :
dans l’angoisse, dans la blessure, dans la mémoire émotionnelle.
Apaiser l’angoisse permanente
L’hypnose agit directement sur le système nerveux.
L’angoisse se détend.
Le corps retrouve une respiration plus stable.
Et la volonté redevient disponible.
Déprogrammer l’association alcool → affirmation
Le cerveau cesse d’utiliser l’alcool comme béquille identitaire.
La personne retrouve une image d’elle-même plus juste, plus solide.
Guérir la blessure du rejet parental
Le travail hypnotique répare ce qui, dans l’enfance ou l’adolescence, a empêché l’identité de se déployer librement.
Restaurer la capacité à aimer et à être aimé
Lorsque l’estime personnelle se reconstruit, l’amour cesse d’être une quête désespérée et redevient une rencontre possible.
Signes que ce mécanisme vous concerne
Vous buvez rarement mais perdez le contrôle lorsque vous buvez.
Vous ressentez un vide intérieur difficile à supporter.
Vous buvez pour vous sentir plus vivant, plus confiant, plus aimable.
Vous avez du mal à être vous-même avec les femmes.
Vous vous sentez seul, incompris, “à côté de votre vie”.
Vous avez l’impression que l’alcool réveille une partie de vous qui vous échappe.
Votre relation à votre père a laissé une trace en vous.
Vous cherchez à être validé par l’amour.
Vous voulez arrêter mais votre volonté ne suffit plus.
Conclusion : arrêter l’alcool n’est pas une question de volonté
C’est une question de racines émotionnelles,
de blessures invisibles,
de solitude non exprimée,
de quête d’amour,
et d’une identité qui n’a pas pu se déployer librement.
L’hypnose ne travaille pas sur le verre.
Elle travaille sur ce qui pousse vers le verre.
Et quand cette racine guérit,
le détachement devient naturel.
La volonté revient.
La vie se réaligne.
C’est ainsi que commence un véritable arrêt.
Pour approfondir, explorez la compréhension globale de la relation à l’alcool.
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