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Ce n’est pas la cigarette le problème, c’est l’anxiété dessous

  • Ce n’est pas la cigarette le problème, c’est l’anxiété dessous

Beaucoup de personnes cherchent à arrêter de fumer en pensant que la cigarette est le problème central.
Elles se concentrent sur le geste, la nicotine, la volonté.

Mais à un moment du parcours, une évidence apparaît
la cigarette n’est pas la cause.
Elle est une réponse.

Cette prise de conscience survient souvent quand l’anxiété et la cigarette commencent à être reliées intérieurement.

Une anxiété qui ne dit pas son nom

Ce n’est pas la cigarette le problème, c’est l’anxiété dessous

Ce n’est pas la cigarette le problème, c’est l’anxiété dessous

Chez de nombreux fumeurs, l’anxiété n’est pas vécue comme une peur franche.
Elle se manifeste autrement.

Une tension constante.
Un mental qui anticipe.
Une difficulté à lâcher.
Un besoin de contrôle.

La cigarette devient alors un régulateur discret.
Elle permet de contenir ce qui déborde.

C’est pour cela que certaines personnes se reconnaissent car elle fument pour me calmer et dans cette agitation intérieure difficile à nommer.

Pourquoi traiter uniquement la cigarette ne suffit pas

Ce n’est pas la cigarette le problème, c’est l’anxiété dessous

Ce n’est pas la cigarette le problème, c’est l’anxiété dessous

Tant que l’anxiété reste active, la cigarette conserve une fonction.
Même si elle ne fait plus plaisir.
Même si le corps la rejette.

Arrêter sans traiter cette couche profonde revient à enlever un amortisseur sans réparer la route.

C’est ce qui explique les arrêts difficiles, les reprises, ou les compensations.

La dépendance au tabac se maintient alors comme un effet secondaire d’un déséquilibre plus ancien.

Quand l’anxiété devient visible lors de l’arrêt

Certaines personnes ne se sentent anxieuses que lorsqu’elles arrêtent de fumer.
Avant, la cigarette masquait tout.

À l’arrêt, le corps s’agite.
Le mental s’emballe.
L’irritabilité monte.

Ce n’est pas l’arrêt qui crée l’anxiété.
Il la révèle.

Cette révélation est une opportunité, pas un problème.

Le programme Self-Control traiter l’anxiété à la racine

Le programme Self-Control ne se contente pas d’agir sur le tabac.
Il agit sur ce qui le rend nécessaire.

Il s’appuie sur plusieurs axes précis.

Identifier la forme d’anxiété en jeu

L’anxiété n’est pas la même pour tout le monde.
Chez certains, elle est liée au contrôle.
Chez d’autres, à la peur de manquer.
Ou à une insécurité plus ancienne.

Identifier cette forme spécifique permet un travail ciblé, sans généralisation.

Apaiser le système nerveux durablement

Ce n’est pas la cigarette le problème, c’est l’anxiété dessous

Ce n’est pas la cigarette le problème, c’est l’anxiété dessous

Grâce à l’hypnose thérapeutique, le programme agit directement sur le système nerveux.
Là où l’anxiété se déclenche sans raison apparente.

Quand cet état de fond s’apaise, la cigarette perd naturellement sa fonction.

Déprogrammer l’association anxiété = cigarette

Un point central du programme Self-Control consiste à dissocier l’anxiété de la cigarette.
L’émotion peut exister sans appeler le geste.

Quand cette association se défait, l’envie disparaît sans effort.

C’est souvent à ce moment-là que certaines personnes découvrent qu’il est possible d’arrêter de fumer sans manque, parce que la cause profonde est traitée.

Installer une stabilité intérieure

Le programme permet de reconstruire une stabilité émotionnelle.
Une capacité à rester avec ce qui se présente, sans se compenser.

Cette stabilité ne dépend plus d’un objet extérieur.
Elle devient interne.

Ce travail s’inscrit naturellement dans une démarche globale d’hypnose pour arrêter de fumer, respectueuse et durable.

Quand l’arrêt devient une conséquence et non un combat

Le véritable changement survient quand l’arrêt de la cigarette n’est plus un objectif forcé.
Il devient la conséquence logique d’un apaisement intérieur.

La cigarette n’est plus nécessaire.
Elle ne sert plus à réguler l’anxiété.
Elle tombe d’elle-même.

En résumé

Si la cigarette vous semble indispensable pour tenir, ce n’est pas elle le problème.
C’est l’anxiété qu’elle masque.

Le programme Self-Control permet de traiter cette anxiété en profondeur, pour que l’arrêt du tabac ne soit plus un combat, mais un soulagement durable.

Étude de cas à intégrer

Cette patiente se définissait comme anxieuse “de nature”.
La cigarette l’accompagnait depuis l’adolescence, surtout dans les périodes d’incertitude ou de solitude.

Elle avait déjà réduit, parfois arrêté, mais l’envie revenait dès que l’anxiété remontait.

En hypnose, elle se reconnecte à une blessure ancienne d’abandon et à un sentiment d’insécurité intérieure très profond.
La cigarette n’était pas le problème, mais la tentative de combler ce vide.

Lorsque cette anxiété de fond est apaisée, le besoin de fumer s’effondre naturellement.

Elle décrit un changement global :

« Ce n’est pas juste que je ne fume plus. Je suis plus calme dans ma vie. »

⭐⭐⭐⭐⭐
Nathalie P. – avril 2015

« Je pensais venir pour arrêter de fumer, mais en réalité c’est mon anxiété qui a été travaillée. La cigarette est partie toute seule. Je me sens beaucoup plus apaisée dans ma vie. »

⭐⭐⭐⭐⭐
Camille B. – octobre 2022

« Grâce à Cécile, j’ai compris que la cigarette masquait un mal-être plus ancien. Le travail a été profond. Je ne fume plus et je me sens plus stable émotionnellement. »

Qui suis-je ?

Cécile Argy - hypnosource

Cécile Argy – hypnosource

Je suis Cécile Argy, hypnothérapeute certifiée, fondatrice de la méthode Hypnosource, créatrice d’une méthode vivante orientée résultats. Depuis plus de dix ans, j’aide les femmes hypersensibles et dépendantes affectives à retrouver leur sécurité intérieure et leur autonomie émotionnelle.

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