Je fume encore alors que je n’aime plus ça
Il y a un moment étrange que beaucoup de fumeurs connaissent.
Celui où la cigarette ne procure plus vraiment de plaisir.
Elle n’est plus bonne. Elle fatigue. Elle agace. Elle encombre.
Et pourtant, elle est toujours là.
Si vous vous reconnaissez, vous n’êtes pas en train d’échouer.
Vous êtes simplement face à un mécanisme plus profond que la volonté.
C’est souvent à ce moment précis que surgit la question silencieuse :
Pourquoi arrêter de fumer est si difficile malgré la volonté.
Quand le plaisir a disparu mais que le geste reste
Beaucoup de personnes continuent à fumer sans aimer ça.
Elles allument une cigarette machinalement, parfois même avec une forme de lassitude ou de dégoût.
Le plaisir n’est plus là.
Mais le geste, lui, persiste.
Ce décalage est fondamental à comprendre.
Il montre que la cigarette n’est plus recherchée pour ce qu’elle apporte, mais répétée pour ce qu’elle évite.
Ce n’est pas une addiction au plaisir mais à une fonction
Quand on fume sans aimer, la cigarette ne sert plus à se faire du bien.
Elle sert à ne pas ressentir autre chose.
Ce peut être une tension intérieure, un vide, une agitation, une émotion difficile à nommer.
La cigarette devient alors une réponse automatique.
Un réflexe appris.
Une manière de maintenir un équilibre intérieur fragile.
C’est ce qui explique la dépendance au tabac, même lorsque la motivation est sincère.
Le paradoxe intérieur vouloir arrêter et continuer quand même
Sur le plan conscient, tout est clair.
Vous savez que fumer vous nuit.
Vous savez que vous seriez mieux sans.
Vous avez parfois même déjà arrêté quelques jours ou quelques semaines.
Mais une autre partie de vous continue.
Ce n’est pas de la mauvaise foi.
C’est un conflit interne entre la partie qui veut changer et celle qui a appris à survivre grâce à la cigarette.
Tant que ce conflit n’est pas résolu, l’effort devient une lutte.
Et la lutte épuise.
Fumer sans plaisir mais avec nécessité
Beaucoup de personnes décrivent une cigarette obligatoire.
Pas agréable. Pas désirée.
Mais nécessaire.
Nécessaire pour se poser, faire une pause, couper le flot des pensées, supporter une situation.
C’est là que la cigarette rejoint souvent le stress et l’anxiété, même quand on ne s’en rend pas compte consciemment.
On fume moins pour le goût que pour l’effet de coupure.
Ce mécanisme est au cœur de fumer pour se calmer, même si l’apaisement est bref et illusoire.
Pourquoi se forcer à arrêter ne fonctionne pas durablement
Se forcer à arrêter revient souvent à retirer une béquille sans s’occuper de la jambe blessée.
Au début, la motivation tient.
Puis quelque chose revient : une nervosité, une sensation de manque floue, une impression de ne pas être soi.
Ce n’est pas toujours la nicotine qui appelle.
C’est le besoin inconscient que la cigarette venait combler.
Sans travail sur ce niveau-là, la rechute n’est pas un échec.
C’est un signal.
Quand le corps dit stop mais que l’automatisme continue
Il arrive un moment où le corps envoie des messages clairs fatigue, souffle court, oppression, irritation.
Et pourtant, le geste persiste.
Ce décalage entre le corps qui n’en veut plus et le comportement qui continue est troublant.
Il montre à quel point l’automatisme est ancré.
C’est ce que l’on observe quand le corps alerte mais que la cigarette continue.
Le corps sait.
Mais l’inconscient protège autre chose.
Comprendre avant de vouloir changer
Ce qui libère réellement, ce n’est pas la contrainte.
C’est la compréhension.
Comprendre pourquoi la cigarette est encore là, ce qu’elle régule, ce qu’elle évite de ressentir.
À partir de là, quelque chose se détend.
La lutte baisse.
Et l’idée d’arrêter devient moins violente.
C’est exactement ce que permet l’hypnose thérapeutique agir sur les automatismes inconscients sans forcer sans se battre contre soi.
Quand la relation à la cigarette commence à changer
Le premier vrai changement n’est pas toujours l’arrêt immédiat.
C’est le moment où la cigarette perd son évidence.
Quand elle devient moins urgente, moins automatique, moins indispensable.
Ce basculement intérieur est souvent le signe que le travail se fait au bon niveau.
Celui où la cigarette n’a plus besoin d’exister pour maintenir l’équilibre.
C’est ainsi que certaines personnes découvrent qu’il est possible d’arrêter de fumer sans manque, non pas par performance, mais par transformation.
En résumé
Si vous fumez encore alors que vous n’aimez plus ça, le problème n’est pas votre motivation.
C’est que la cigarette joue encore un rôle inconscient.
Comprendre ce rôle est la première étape pour s’en libérer durablement.
Sans violence.
Sans lutte.
Et sans vous couper d’une partie de vous-même.
Étude de cas à intégrer
Cette consultante fumait depuis plus de quinze ans.
Elle n’aimait plus la cigarette. L’odeur l’écœurait. Le goût ne lui apportait plus rien. Pourtant, elle continuait.
Elle avait déjà essayé d’arrêter plusieurs fois.
Patchs, volonté, résolutions fermes.
À chaque tentative, le même scénario : tenir quelques jours, puis reprendre, avec une culpabilité de plus en plus forte.
En séance, ce qui apparaît rapidement n’est pas un manque de motivation, mais un conflit intérieur profond.
Une partie d’elle voulait arrêter.
Une autre utilisait la cigarette comme régulateur émotionnel depuis des années.
En hypnose, elle retrouve l’origine de cette tension intérieure : une peur ancienne de ne pas être à la hauteur, installée très tôt, qui générait un besoin permanent de contrôle et d’auto-apaisement.
Lorsque cette racine est libérée, la cigarette perd sa fonction.
Elle ne “résiste” plus.
Elle n’en a simplement plus besoin.
Quelques semaines après la séance, elle dira :
« Je n’ai pas arrêté par effort. C’est juste devenu inutile. »
⭐⭐⭐⭐⭐
Sophie L. – mars 2016
« J’avais déjà essayé d’arrêter plusieurs fois. À chaque fois je reprenais et je me sentais nulle. Avec Cécile, j’ai compris que ce n’était pas un manque de volonté. Après la séance, l’envie a disparu sans lutte. C’est la première fois que je me sens vraiment libre. »
⭐⭐⭐⭐⭐
Claire D. – septembre 2019
« Je n’aimais plus fumer mais je continuais quand même. La séance m’a permis de comprendre ce qui se jouait à l’intérieur. Je n’ai pas arrêté par effort, c’est devenu naturel. Une vraie libération. »
J’ai créé le programme Sel-Control pour vous accompagner dans cette démarqche jusqu’à la réussite.
Qui suis-je ?
Je suis Cécile Argy, hypnothérapeute certifiée, fondatrice de la méthode Hypnosource, créatrice d’une méthode vivante orientée résultats. Depuis plus de dix ans, j’aide les femmes hypersensibles et dépendantes affectives à retrouver leur sécurité intérieure et leur autonomie émotionnelle.
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