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Trouble anxieux généralisé : quand l’anxiété devient permanente

  • Trouble anxieux généralisé : quand l’anxiété devient permanente

Lorsque votre esprit ne s’arrête jamais, que les pensées tournent sans répit et que chaque silence devient un terrain fertile pour l’angoisse, on ne parle plus de stress.
On parle d’un trouble anxieux généralisé : un état où le système nerveux vit en alerte constante, même lorsque tout semble sous contrôle.

Pour beaucoup de patientes, cet état s’installe après des années à “tenir bon”, à faire comme si tout allait bien… alors que l’intérieur s’épuise.
Apprendre à se libérer de l’anxiété devient alors essentiel.

Quand l’anxiété ne vous quitte plus : comprendre le trouble anxieux généralisé

Le TAG ne se limite pas à une seule peur ou une seule situation.
C’est une anxiété diffuse, permanente, qui s’immisce partout : travail, relations, transport, quotidien, moments de détente… même en vacances.

Votre mental anticipe, analyse, questionne, catastrophise… sans jamais s’arrêter.
Un fonctionnement très proche de ce que l’on observe dans l’anxiété chronique.

Certaines patientes parlent d’une véritable “fatigue d’être soi-même”, un état où le corps résiste, où les tensions augmentent — des mécanismes que l’on retrouve aussi dans l’anxiété qui se loge dans le corps.

Quand s’arrêter devient impossible

Dès que l’on ralentit, l’esprit repart.
Dès qu’on se retrouve seule, l’angoisse surgit.

Ce fonctionnement s’intensifie dans les périodes de surcharge mentale, ou dans ces moments où l’esprit s’emballe comme dans l’anxiété nocturne.

Et lorsque cette anxiété devient quotidienne, pesante, ingérable, certaines patientes finissent par avoir l’impression d’avoir “tout essayé”, comme je l’explique dans Anxiété : que faire quand rien ne marche.

Quand l’origine est émotionnelle : ce que révèle l’hypnose

Le trouble anxieux généralisé n’apparaît jamais “sans raison”.
Il est souvent l’écho d’événements précoces : absence de protection, injustices, solitude affective, émotions impossibles à exprimer.

L’hypnose permet de revisiter ces mémoires non résolues, non pas pour les revivre, mais pour libérer ce qui y est resté figé.

C’est ce que montre le cas clinique ci-dessous.

Cas clinique – Quand l’anxiété devient une présence permanente

« Si je ne m’occupe pas l’esprit, l’angoisse revient immédiatement. »

Ma consultante vit avec une anxiété constante.
Elle me décrit un mental qui s’emballe dès qu’elle cesse d’être occupée.

Elle rumine tout :

  • transports

  • travail

  • argent

  • relations familiales

  • souvenirs culpabilisants

  • discussions imaginées

Même un week-end à Londres avec son conjoint se transforme en lutte intérieure : dès qu’elle se retrouve seule quelques minutes, l’angoisse envahit son espace mental.

En voiture, dans les embouteillages, les pensées s’accélèrent, la voix tremble, la panique monte.
Elle sait que c’est irrationnel, mais son corps réagit comme face à un danger réel.

Ce fonctionnement pèse sur son couple :
« Il me porte, mais il est épuisé… ce sont toujours les mêmes peurs qui reviennent. »

Ce que l’hypnose a révélé : la petite fille jamais protégée

Anxiété relationnelle : quand l’attente fait mal

Anxiété relationnelle : quand l’attente fait mal

En séance, son inconscient révèle un schéma clair :
elle n’a jamais connu la sécurité émotionnelle.

À 3 ans, elle a peur des autres à l’école.
Sa mère ne la rassure pas, ne la protège pas, impose l’apparence du “tout va bien”.

À 6 ans, un événement traumatique la marque profondément :
un enfant la menace avec un couteau et l’oblige à se déshabiller.

La même année, deux camarades victimes d’inceste se confient à elle.
À 8 ans, elle les emmène au commissariat — une charge émotionnelle beaucoup trop lourde.

À 20 ans, un homme la force dans une voiture.
Le schéma se répète : danger + solitude = hypervigilance.

Le médecin avait demandé à sa mère de la changer d’école.
Elle ne l’a jamais fait.

Son système nerveux a appris très tôt :
“Tu es seule face au danger.”

En hypnose : restaurer une sécurité intérieure durable

L’hypnose lui a permis de :

  • relâcher la mémoire traumatique

  • apaiser l’alerte permanente

  • diminuer les ruminations

  • retrouver une sensation de stabilité intérieure

  • restaurer sa capacité à respirer psychiquement

  • reprendre le pouvoir sur son monde intérieur

Elle dit après la séance :
« Je me sens enfin respirer. Mon esprit n’est plus en mode survie. »

Si votre esprit ne se met jamais en pause…

Vous pouvez retrouver un apaisement réel et durable.
L’HypnoVisio vous permet ce travail depuis chez vous, en toute sécurité.

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Quand l’anxiété prend des chemins inattendus : compulsions et solitude amplifiée

La période du confinement a fait émerger chez beaucoup de personnes des formes d’anxiété qui n’avaient jamais existé auparavant.
Privés de mouvement, isolés, confrontés à eux-mêmes, certains patients ont développé des réactions émotionnelles intenses : compulsions, boulimie émotionnelle, alcoolisation, rumination, vide intérieur.
Des mécanismes fréquents dans l’anxiété qui se loge dans le corps, lorsque le système nerveux tente de retrouver un équilibre.

Cas clinique : quand l’hyperphagie devient un moyen de survivre au trop-plein intérieur

Il est étudiant, brillant, surchargé de travail.
Pendant le confinement, son monde se rétrécit : plus de sortie, plus d’espace, plus d’échappatoire mentale.
C’est le soir que tout dérape. Il dévore sans faim, sans envie, “pour ingurgiter”, dit-il.
Un comportement qui n’a rien à voir avec la gourmandise, mais tout avec un trop-plein émotionnel qu’il n’arrive plus à contenir.

Ce phénomène est proche de ce que l’on observe dans le stress qui épuise le corps et l’esprit : lorsque le mental ne peut plus traiter ce qu’il ressent, le corps prend le relais.

En hypnose, nous avons apaisé cette tension interne et réinstallé une sécurité émotionnelle, permettant au besoin compulsif de se dissoudre naturellement.

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Cas clinique : quand la solitude réveille la blessure d’abandon… et fait basculer vers l’alcool

Elle est jeune, sportive, sensible.
Mais depuis le télétravail, elle se sent « seule au monde ».
Ce silence réveille une mémoire ancienne :
une mère alcoolique, souvent absente,
un père dépassé,
et une enfant qui grandit dans le vide affectif.

Aujourd’hui, elle boit pour combler l’ennui, pour faire taire la solitude.
Elle dit :
« Parfois je finis la bouteille. Je ne supporte pas l’ennui. Je ne sais pas quoi faire de mon temps. »

Ce n’est pas un problème d’alcool au sens classique.
C’est une réaction anxieuse profonde, un mécanisme protecteur qui se met en place lorsque la surcharge émotionnelle devient trop forte — exactement comme dans le stress qui devient trop fort.

En hypnose, nous avons travaillé la blessure d’abandon qui gouvernait encore ses réactions.
En retrouvant une sensation de présence intérieure, l’alcool a perdu sa fonction de “remplir le vide”.

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