Ma consultante, avocate de 46 ans, a développé une consommation quotidienne d’alcool presque sans s’en rendre compte. Au départ, c’était une sortie entre collègues, puis un rituel du soir. Une récompense après une journée intense.
Un moyen rapide d’évacuer la pression, de faire tomber les tensions, d’adoucir l’anxiété.

Petit à petit, ce rituel est devenu son médicament émotionnel.
Une demi à trois quarts de bouteille par soir.
Et après avoir bu, elle mange n’importe quoi.
Elle perd le contrôle : elle grignote, se jette sur des aliments lourds, sans conscience.
Le lendemain, elle se répète :
« Lundi, j’arrête. C’est fini. »
Mais rien ne change.

Elle a tenté les bières sans alcool… mais ce n’est pas l’alcool qu’elle cherche.
C’est la détente, la pause, la compensation.
Ce schéma correspond aux sujets sur l’alcool féminin, ou quand on parle de l’idée de boire pour oublier, également le lien entre alcool et anxiété, ou encore l’idée de croire de manière illusoire que l’on boit avec modération...

En hypnose : retrouver la scène où tout a basculé

Sous hypnose, son inconscient la ramène à une sortie dans un bar.
Un homme crée avec elle un rapport conflictuel, une tension, une insécurité.
Son corps se referme, et l’alcool devient son armure.
Puis une deuxième scène apparaît :
une relation sentimentale insatisfaisante, où elle se sent invisible, pas choisie, pas respectée.

Ces deux dynamiques réveillent :

• un manque d’estime

• un besoin de reconnaissance

• une faille émotionnelle

• une ancienne blessure affective

Cela peut amener à un lâcher-prise sur l’alcool : c’est donc le moment de reprendre le contrôle.

En hypnose, nous avons libéré ces charges anciennes.
Et lorsqu’elles se dissolvent, le réflexe du verre du soir se dissout avec elles.

Pourquoi elle n’arrivait pas à arrêter seule

Parce que son rapport au vin n’était pas un problème de volonté.
C’était un problème émotionnel.

L’alcool lui offrait :

• un sas de décompression

• une micro-évasion après la pression professionnelle

• un antidote temporaire au sentiment de solitude intérieure

• un moyen d’éviter des émotions qu’elle ne voulait plus ressentir

Ces mécanismes peuvent amener à voire pour se sentir exister.

Et tant que ces blessures restent actives, la personne revient naturellement au rituel du soir.

L’hypnose : reprendre enfin le contrôle

HypnoVisio

Une fois les racines identifiées et libérées, son système émotionnel s’apaise.
Elle n’a plus besoin du verre du soir.
Elle se reconnecte à ses propres ressources :
calme intérieur, sentiment de sécurité, présence à elle-même.

Elle me dit en fin de séance :

« Pour la première fois depuis longtemps, je sens que l’envie n’est plus automatique. »

L’hypnose permet cela :
rééduquer le cerveau pour qu’il retrouve sa capacité naturelle de maîtrise, sans lutter, sans forcer.

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Idéal pour les femmes confrontées à l’automatismes du soir.
ou/et après une rupture difficile.

Qui suis-je ?

Cécile Argy, fondatrice d’Hypnosource

Cécile Argy – créatrice de la méthode Hypnosource

Hypnothérapeute certifiée — spécialiste des addictions et des dépendances affectives
Une approche douce, rapide, profondément libératrice.

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